Bonjour à tous !

Voici mon premier article après cette longue attente (c’est le cas de le dire…), qui trottait dans ma tête depuis la création du blog. Comme vous vous en doutez, avant d’être un lecteur de VNs, je suis surtout un grand fan de mangas (et d’animes, of course). Je ne compte plus le nombre de mangas que j’ai achetés durant toutes ces années, j’étais un sacré acheteur compulsif et j’adorais parcourir les rayons de la Fnac à la recherche d’une pépite. Mais avec l’âge, je me suis assagi et j’en ai revendu beaucoup pour libérer mes pauvres étagères, qui pliaient dangereusement sous le poids de mon avidité. Maintenant, je ne garde que les plus précieux à mes yeux (les Yotsuba&, par exemple).

En tant que lecteur assidu de mangas, on ne peut s’empêcher de repérer une redondance dans l’utilisation de certaines idées ou situations. Qui n’a jamais soupiré en voyant notre bon vieux héros se prendre une tarte en tombant sur la poitrine d’une fille, ou un couple de lycéens rougir quand leurs mains se touchent au moment où ils essaient de ramasser une gomme par terre… Ces clichés que l’on voit dans les mangas peuvent nous faire sourire ou nous exaspérer, mais ne laissent personne indifférent.

J’ai donc eu envie de faire une compilation de clichés, même si l’idée est loin d’être révolutionnaire. Mais attention, pas n’importe comment.

Recenser des clichés, c’est bien, mais les illustrer et les commenter, c’est bien plus amusant !

La raison pour laquelle j’ai mis autant de temps pour pondre cet article vient du fait que l’accumulation de matériels demande énormément d’énergie et de motivation. Savoir qu’il y a tel cliché dans tel manga, c’est une chose ; se remémorer la page exacte où a lieu ce cliché au sein d’une centaine de chapitres, c’en est une autre. Avec ces années de labeur, j’ai assez d’extraits pour en illustrer une soixantaine, et je bosse encore sur ce projet à l’heure actuelle. Mon but était de faire un seul article avec 100 clichés, chacun étant démontré par au moins trois extraits de mangas, mais je suis encore très loin d’avoir fini (je n’ai pas que ça à faire, je prends mon temps).

Surtout, il est parfois difficile de sélectionner les clichés les plus représentés, mais également de catégoriser une redondance comme un cliché. Ce n’est pas parce que l’action se passe souvent au Japon que je prends ça comme un cliché, de même qu’un héros qui mange un petit-déjeuner le matin ou qui se brosse les dents ne sont pas des clichés. Par contre, un personnage qui met une tartine dans la bouche en guise de petit-déjeuner, avant de courir jusqu’à l’école afin d’éviter un retard, ça oui, c’est un cliché. Il faut que cette situation soit non seulement répétée et réutilisée dans plusieurs mangas, mais également qu’elle n’est pas perçue comme « normale » (un petit-déjeuner, c’est normal, une tartine dans la bouche en faisant un sprint, ça l’est moins). Enfin bref, c’est compliqué.

Je vous livre donc la première partie de mon projet, sachant que d’autres articles (déjà en préparation) viendront compléter celui-ci si vos retours sont positifs.

Bonne lecture !

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Bonjour à tous !

J’espère que vous allez bien depuis le temps. Quand je vois que mon dernier article sur ce blog remonte à septembre 2014 (sur Katawa Shoujo), je ne peux pas m’empêcher de ressentir une vague de nostalgie. Quatre ans à entretenir régulièrement un blog (même si 2014 a été très loin d’une année fructueuse), puis plus rien, plus de nouvelles sur Twitter non plus, ça doit laisser perplexe.

Je vous dois quelques explications.

Avec le temps, je dois avouer que ma passion pour les VNs s’était amoindrie. Je n’éprouvais plus le même enthousiasme, la même ferveur qu’à mes débuts. Même s’il m’arrivait de reprendre la lecture d’un VN pour essayer de ressusciter la flamme, je finissais toujours pas abandonner et passer à autre chose. Et vu que je me sentais forcé d’écrire un article sur tous les VNs que je lisais, ce qui constituait un effort supplémentaire (eh oui, ces textes ne se pondent pas tout seul et ça demande beaucoup de temps et de recherches), j’étais encore moins motivé.

Ajouté à cela, la préparation pour les concours n’a pas épargné mon temps libre. Je n’étais pas psychologiquement disposé à continuer mes articles, en sachant que ce temps que j’investissais sur mon blog pouvait être utilisé pour augmenter mes chances de réussite. Cependant, après plusieurs tentatives, mes efforts ont fini par payer et j’ai pu tomber sur un poste que j’apprécie. Ainsi, je n’ai plus besoin de réviser en permanence, et j’ai à présent du temps libre sans sentiment de culpabilité.

Mais avec le boulot, un sentiment de vide s’est emparé de moi : je fais quoi de mon temps libre, maintenant que je n’ai plus besoin de passer de concours ? Je rentrais du taf pour m’installer devant mon ordinateur, sans savoir quoi faire, penaud. J’ai mis des années à achever un but et quand ce but a été atteint, je me suis senti déboussolé.

Puis je me suis rappelé que j’avais des VNs à lire, dont Da Capo 3. La musique de l’écran-titre, cette douce mélodie qui n’a pas changé depuis le début de l’aventure, a ravivé quelque chose en moi. C’est amusant parce que Da Capo a été mon tout premier VN, mais est également celui qui m’a remis les pieds à l’étrier. Je me souviens avec émerveillement des heures passées à lire, à écrire, à ressentir un tourbillon d’émotions (Little Busters!… *soupire*), lorsque je rentrais de la faculté. Les VNs ont accompagné les périodes les plus marquantes de ma vie.

Je voulais à nouveau ressentir ça. Je veux à nouveau ressentir ça.

J’ai un article qui est en préparation, bien que ce ne soit pas une critique de VN. Toutefois, je suis certain que ma première critique portera sur Da Capo 3.

Que dire d’autres ?

Eh bien…

*met des lunettes de soleil*

Il est grand temps de dépoussiérer les lieux.

KSmain

Aujourd’hui, on va s’intéresser à un VN qui a beaucoup fait parler de lui à l’époque de sa sortie, et même encore maintenant. Je vais présenter brièvement la curieuse histoire qui entoure sa création, que vous connaissez sans doute si vous vous y êtes intéressé un minimum : les fondations de Katawa Shoujo ont été posées par une illustration de RAITA publiée en 2007 sur 4chan par un Anonymous, qui présentait des filles handicapées en tant que possibles héroïnes de galge. Jugeant l’idée intéressante, un groupe de motivés se sont unis pour former Four Leaf Studio, avec l’intention d’en faire une réalité. Après la sortie en 2009 d’une démo comprenant l’acte 1 du VN, la version finale est arrivée en 2012. Je me souviens d’avoir téléchargé la version finale le jour même de sa mise à disposition sur le site officiel anglais, avant de la laisser poireauter dans mon disque dur par manque de motivation… Quand il a enfin bénéficié d’une traduction française complète par Kawa Soft, je me suis précipité pour l’acheter en version physique, avant de la laisser poireauter et prendre la poussière… Finalement, à cause de l’alignement parfait des astres qui ne se produit qu’une fois tous les cinq mille ans, ma motivation est revenue telle une loli qui saute joyeusement sur son onii-chan. Ça y est, j’ai pu expérimenter ce VN qui a fait découvrir le média à la plupart des néophytes américains et peut-être aussi à vous.

Je ne suis peut-être pas un fin connaisseur de VNs amateurs, mais celui qui fait l’objet de cet article fait clairement partie des VNs qui m’ont le plus marqué. J’avais des attentes assez grandes vu tout le raffut que l’on faisait dessus, et malgré ça, je n’ai pas été déçu de cette expérience. Mais attention, cela ne signifie pas qu’il est dénué de défauts : il y en a, mais ils ne sont pas rédhibitoires.

Comme à chaque fois, je donne mon avis sur les routes de chaque fille dans la partie consacrée à la présentation des personnages. Bien entendu, j’ai fait en sorte de limiter les spoils au maximum : l’intrigue n’est jamais divulguée, mais mon impression peut porter sur des détails que vous auriez préféré ne pas savoir avant. Si vous n’avez pas encore lu la route en question, mon avis ne vous gâchera pas la surprise mais il vous influencera peut-être. Enfin, le choix est vôtre. Lire le reste de cette entrée »

WEEmain

Coucou, me revoilà ! Après presque un an d’inactivité, principalement due à mes études (eh oui, c’est toujours la faute aux études !) qui m’ont même fait oublier d’écrire un article fêtant l’anniversaire de mon blog, je reviens avec mon avis sur le premier épisode de World End Economica (2011), un kinetic novel de Spicy Tails que j’ai pu choper en version française au stand Kawa-Soft durant une JE. Si ce nom ne vous dit rien, peut-être que vous connaissez au moins le scénariste de ce groupe, Isuna Hasekura, qui n’est autre que l’auteur de Spice and Wolf, un light novel que j’affectionne tout particulièrement et qui a connu des adaptations en anime et en manga. Ce qui m’avait plu dans Spice and Wolf (outre l’adorable déesse-louve Holo, que personne de sain d’esprit ne peut détester), c’était son univers médiéval et le choix du scénariste de se focaliser entièrement sur l’activité d’un marchand ambulant ainsi que ses mésaventures et réussites commerciales. Une histoire qui se passe dans un moyen-âge fictif sans que le héros soit équipé d’une épée et d’une lourde armure pour massacrer tout sur son passage, c’est déjà un premier pas vers l’originalité. Mais en plus, attirer toute notre attention sur un type de passage qui refourgue sa marchandise dans les villages, en rendant ça super attrayant et pas ennuyeux pour un sou, franchement, il y a du niveau (et Holo explique aussi le succès du LN, mais je m’égare un peu…).

En se lançant dans World End Economica, Isuna Hasekura prend le contrepied de ce qui a été fait dans Spice and Wolf. L’univers médiéval de S&W laisse la place à un cadre futuriste, et les échanges commerciaux effectués après avoir écumé des lieues et des lieues sur un attelage sont remplacés par des transactions boursières tout ce qu’il y a de plus virtuel. Dans un tel contexte, Isuna Hasekura s’expose évidemment à la comparaison entre ses deux œuvres majeures, et une question peut ressortir de la bouche des fans de cet auteur : est-ce que World End Economica tient la route comparé à S&W ?

Si vous voulez le savoir, c’est par ici que ça se passe ! Lire le reste de cette entrée »

GrisaiaMain

Fraichement rentré des vacances, j’ai ressenti cette envie de me mettre à un galge que je n’avais pas déjà commencé. J’avais besoin de nouveauté, vous voyez. Ce n’est pas la meilleure chose à faire vu que j’avais déjà un paquet de VNs inachevés à terminer, dont Kira Kira (qui prend un peu la poussière, en attendant…). Naturellement, je n’ai pas écouté cette logique et, comme un vrai rebelle, j’ai jeté mon dévolu sur Grisaia no Kajitsu, dont le patch anglais est sorti il y a quelques mois à peine.

Je ne savais pas trop à quoi m’attendre personnellement de ce VN de Front Wing qui a vu le jour en 2011, mais les avis que j’avais pu glaner à gauche et à droite semblaient positifs dans l’ensemble. A voir certains résumés, ce VN avait tout du galge parfaitement assumé : un héros masculin entouré de cinq donzelles à séduire, et de rien d’autre. On a écarté tous les élèves inutiles des galge habituels, ces idiots sans visage qui envient le protagoniste trop chanceux auprès des plus belles filles de l’école, pour ne garder que l’essentiel.

Malgré le titre en partie français de l’œuvre (« LE FRUIT DE LA GRISAIA »), qui est décliné dans les deux VNs suivants de la trilogie, Grisaia no Meikyuu – LE LABYRINTHE DE LA GRISAIA – et Grisaia no Rakuen – LE EDEN DE LA GRISAIA – (sic), je me sens le besoin de prévenir qu’aucune allusion n’est vraiment faite à la France. C’est purement stylistique, comme cette référence au « fruit » qui n’a pas d’utilité dans l’histoire.

Que dire, sinon ? Plein de choses, mais pas dans cette introduction !

Je tiens à vous rappeler que des spoils parsèment mon article (surtout dans la présentation des personnages et l’appréciation générale), mais rien de grave qui vous gâcherait irrémédiablement la lecture. Si vous tenez à lire Grisaia no Kajitsu avec seulement à l’esprit les grandes lignes, contentez-vous du synopsis et de ma conclusion ! Lire le reste de cette entrée »

Charlotte Dunois

Si vous avez reconnu la grosse référence à l’œuvre de Grevisse dans le titre, alors vous avez compris un minimum le but de cet article. Alors que la communauté française autour du VN est encore dans un stade embryonnaire, en dépit des gros efforts de quelques passionnés pour le promouvoir en France (passionnés qui se reconnaitront), on peut se poser des questions quant à l’utilisation du terme « visual novel » dans la langue française.

En effet, comme vous le savez déjà, la langue de Molière est particulièrement compliquée et même les natifs ont beaucoup de mal à la maitriser sans être confrontés à des hésitations dans la vie de tous les jours. Par exemple, disons-nous « un » pétale ou « une » pétale de fleur ? « Un » anagramme ou « une » anagramme ? « Autant pour moi » ou « au temps pour moi » ? C’est en juin que cette fleur est « la plus » belle ou « le plus » belle ?

Je pourrais continuer à vous donner des exemples, mais on a déjà bien compris l’idée : le français est une langue déroutante par sa complexité !

Alors si en plus, des termes d’origine étrangère s’invitent à la fête, les choses se gâtent très vite.

Aujourd’hui, on va s’intéresser à l’emploi du terme anglais visual novel dans notre belle langue, et ce sous divers angles. Je ne me suis intéressé au sujet que très récemment malgré mon très fort attachement à ma langue. Comme je ne voulais pas déterrer mon passé de brigadier de la grammaire (j’en ai un peu honte), j’avais évité autant que possible de m’en soucier, préférant employer le terme comme je le sentais.

Cependant, je me suis rendu compte que l’usage du terme visual novel nécessitait une certaine stabilité, car même si je ne m’en souciais pas, ce n’était pas le cas de tout le monde. Ainsi, je me devais d’éclaircir les choses, quitte à exhumer mes vieilles habitudes. Je me suis donc documenté sur la question afin de vérifier, au passage, si mon propre usage était correct jusqu’à présent. Cet article a pour but de répondre à ces questions sur lesquelles on est en droit de s’interroger :

(I) Quel est le genre de visual novel ?

(II) Quelle est la forme de visual novel au pluriel ?

(III) Les majuscules à visual novel (« Visual Novel ») sont-elles fautives ?

(IV) Faut-il mettre visual novel en italique ?

Bien entendu, je tâcherai de présenter des arguments à l’appui de mes positions, épaulé par de vieux compagnons de bataille qui sont des sources sûres, le Bon Usage de Grevisse (14e édition) en tête. D’ailleurs, ne soyez pas étonné si mes anciens articles connaissent de petites corrections après la publication du présent billet ! Lire le reste de cette entrée »

Projet Saya

Depuis hier, le 1er juin 2013, un nouveau site de VN est apparu dans le paysage francophone : il s’agit de Projet Saya. Comme toutes les initiatives lancées sous l’égide tricolore, il a pour but la promotion du visual novel dans notre beau pays, ce qui ne sera pas une mince affaire, je vous l’accorde volontiers.

Comme j’ai été recruté par Xian en tant que membre de l’équipe, aux côtés d’Helia, de Suryce et du fondateur précité, il aurait été bizarre que je n’en fasse pas la moindre mention sur mon blog. J’ai peut-être raté le jour de l’ouverture du Projet Saya pour faire un article dessus, mais ce n’est pas grave, mieux vaut tard que jamais. Lire le reste de cette entrée »

Traümendes Mädchen

Comme vous le savez, mon blog a pour but la promotion du visual novel en France, mais soyons franc, se contenter d’écrire des critiques sur des VNs professionnels tout droit sortis de l’archipel n’est pas forcément le meilleur moyen d’atteindre cet objectif. Pourtant, c’est ce que j’essaie de faire, tant bien que mal, car contrairement à certains extraterrestres qui réussissent à pondre plusieurs articles en une semaine, je suis facilement distrait par les aléas du quotidien et démotivé par moment quant à la mise à jour de mon blog.

Heureusement, je ne suis pas le seul à m’intéresser à ce média peu connu et plutôt que de donner un avis sur tel ou tel VN, des personnes tentent vaillamment de s’approprier cet outil inusité en France pour diffuser des histoires qui en vaillent le détour. Ils ne critiquent pas les VNs, ils en créent. Ces passionnés se réunissent pour entreprendre un voyage périlleux, et pas toujours récompensé malgré les efforts fournis. Certains groupes se dissolvent avant même d’avoir fait un pas, des solitaires tentent l’aventure et sont oubliés, mais quelques survivants parviennent à voir le bout du tunnel et à mettre les pieds dans une zone qui est déjà une première conquête.

La team Traümendes Mädchen fait partie de ces courageux voyageurs qui, guidés par une motivation hors du commun, viennent de traverser les frontières de la Terre promise. Traümendes Mädchen a pondu trois VNs en tout : Being Beauteous (élaboré durant l’Epitanime 2012, dans le cadre du concours VN), Milk ~ La légende des étoiles (projet de longue haleine dont l’épisode 1 est sorti depuis pas mal de temps), et Ambre (pondu à l’occasion de la NaNoRenO 2013, un concours organisé par Lemma Soft). Lire le reste de cette entrée »

Rewrite_Main

J’adore les VNs de Key, c’est un fait acquis. Avec Rewrite, j’ai renoué avec une habitude que je pensais avoir perdue : passer plusieurs heures sans interruption devant un écran à lire un VN. Il faut dire qu’avec Otoboku, j’ai dû un peu lutter pour le terminer, avec des séances de lecture d’une trentaine de minutes en moyenne avant de fermer la fenêtre pour rebrancher mon cerveau. Je n’ai pas eu ce problème avec Rewrite ; par contre, j’ai eu beaucoup de mal à m’arrêter tant c’était captivant.

Je voudrais d’ailleurs remercier Amaterasu Translations pour leur travail toujours aussi sérieux dans la traduction de VNs, et pour m’avoir permis de lire une autre perle signée Key. Comme ses prédécesseurs, Rewrite vaut le coup. J’attends avec impatience la sortie du patch anglais pour le fandisc Rewrite Harvest festa!.

Dans cet article, j’ai fait du mieux que possible pour ne pas spoiler, quitte à être très vague sur certains points. Ainsi, il n’y a pas de risque de voir sa lecture méchamment gâchée par une révélation importante dans cette critique. Cependant, si vous avez vraiment peur, passez sans tarder à la conclusion. Lire le reste de cette entrée »

OtobokuMain

Un billet sauvage vient d’apparaitre ! Après plusieurs mois d’inactivité, me revoilà avec la critique d’Otome wa Boku ni Koishiteru (abrégé en Otoboku), un galge produit par la société Caramel Box et distribué avec la traduction anglaise par MangaGamer depuis fin 2012. J’avais déjà regardé l’adaptation anime et l’ayant bien aimée, je m’étais dit que le VN devait être tout aussi sympa. Mes attentes n’ont pas été trahies, mais elles n’ont pas été dépassées non plus. Au final, on se retrouve à lire une œuvre qui n’a rien d’exceptionnel, avec la simple histoire d’un trap qui atterrit dans une école pour fille, mais on assume jusqu’au bout. Ceux qui ne sont pas intéressés, passez votre chemin. Les autres, petits curieux ou intéressés, suivez-moi ! Lire le reste de cette entrée »

Durimu Dream

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